Wahou, j’ai bien des photos en attentes de mon séjour à Madrid, mais cet article nous fait revenir en France. Pourquoi, et bien tou simplement parcequ’il semble que mon esprit me l’impose. En effet, depuis que je suis ici à Madrid (2 mois) je suis l’actualité française via Internet, et bien sur, je m’énèrve, je jure, je me scandalise depuis deux mois et je regrette de ne pas être en France… Aujourd’hui, ce matin, comme tout les matins je lis donc les nouvelles et sans réllement m’en rendre compte, j’ai pris un stylo et écris. Sur ce que je lisais mais aussi sur ce que me restait de mes anciennes lectures. Il manque plein de chose qui me traversent l’esprit maintenant que je décide d’un petit compte rendu sur ce blog. Je pense que le peu de personne qui passe par ce blog ne vont pas aimer car ça n’a rien à voir avec l’Espagne et puis ça parle beaucoup de politique (Encore la politique Clémence), parce que je ne propose pas de solutions, que je me plains et critique seulement. Mais ça viens de moi et c’est mon état d’esprit, maintenant tout de suit, à 10 h 30 sur Madrid. J’explique : en gras-italique, ce sont les titres ou le sujet abordé, en gras, c’est moi qui parle, entre guillemets se sont mes opposants fictifs ou bien des personnes s’exprimant sur mes propos. (bizarre hein !)
Il n’y a pas d’ordre dans cet article, j’ai commencé à la lecture d’un article sur les médicaments : De nouveaux médicaments moins remboursés. Redressement de 3 milliards d’euros à partir de 2009, réduction du taux de prise en charge de certains médicaments destinés aux patients souffrants d’affections longues durées. Heuuu, oui mais longue durée veut dire que ça va durer fort fort longtemps et que la personne atteinte par l’affection devra durant toute cette durée acheter les fameux médicaments moins bien remboursés ! AÏE pour eux (et première colère).
On passe du tout au tout, Campagne de publicité (communication) sur le pouvoir d’achat par le gouvernement. Dommage que je n’ai plus le précieux livre de M. Frustier, professeur en communication, nous indiquant les tarifs d’espaces publicitaires. Quand bien même l’Etat bénéficie de remises (je pense) rien que le prix d’une pub en quadri dans un magazine coûte les yeux de la tête (« la tête à qui ? » — Là n’est pas la question, voyons). Alors si je comprends bien, nous avons l’honneur de visionner les spots publicitaires de notre gouvernement, au sujet de notre pouvoir d’achat ! Pour la modique somme de… Breeef, mais, heuu, cet argent il serait pas mieux dans la poche de ceux dont le pouvoir d’achat fond comme neige au soleil. Non Nicolas (Sarcozy) je ne parle pas de parachutes dorés ni de tes amis directeurs d’entreprises, pour l’instant avec tout ce que tu leur offres, leurs petits enfants pèteront dans la soie. Soupir soulagé de notre chef (« ça c’est fait »). J’ai quand même un petit rire intérieur car, pour visualiser ces spots publicitaires, il nous faudra aller sur TF1 (hahahah, je me gausse). Donc, ça coûte cher, c’est inutile et en plus je ne les verrai pas. Suivaaaant
Ha tiens, le suivant c’est Suppression de la publicité pour la télévision publique et augmentation sur les chaînes privées. Enfin, soit elles (les chaines privées) augmentent le nombre de pub pour le même tarif, soit elles gardent le même quota mais attention c’est plus cher ! « Ou les deux » — ?? je vous hais. Bon mais alors, qui va financer le public ? Question rhétorique. Nous bien sur !
Aller, je continue avec TF1 « C’est scandaleux, elle nous harcèle ». Nouvelles politique de remboursement des frais. Tout comme moi vous pensez aux frais de déplacements ou à la cafèterait… que nenni.
« Aucun remboursements ne sera accordé pour l’achat de friandises » — Plait-il ?
« Les dépenses à caractère personnels (loisirs, vêtements, presse people…) ne seront pas prises en charge » — À parce que avant elles l’étaient ?
« Idem pour les cigarettes » — Tant mieux parce que si ils fument trop après ils devront eux-mêmes payer leurs soins. Je rêve.
« Les remboursements de repas liés à des invitations entre collaborateurs n’est pas autorisé » — Nan mais, c’est fou. Patron ! Luc et moi allons au resto parler affaires, on donne la note à la gestion hein ?!
Mais que je rassure les employés, avec la suppression de la pub dans le public, votre monopole de diffusion vous rendra vos privilèges. « Quoi que », ce sont tellement des chacals (chacaux ??) dans ce milieu que vous devrez peut-être payer vos clopes. « Jesus Cry »